The Good Boss

par The Good Boss

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The Good Boss
The Good Boss

Historique et genèse du projet
Après plusieurs années de carrière dans le e-commerce, j’ai vécu un épuisement professionnel en 2021. Cette expérience a été un tournant. J’ai décidé de me consacrer à comprendre les causes du mal-être au travail et à identifier les leviers de performance durable. J’ai mené un travail de recherche sur les dysfonctionnements du modèle de travail en France, la perte de sens, et la corrélation entre bonheur et performance.
De cette étude est née une conviction forte : il ne suffit pas de “parler bien-être”, il faut le mesurer, le piloter et le valoriser. Les entreprises qui prennent soin de leurs salariés ne sont pas seulement plus humaines : elles sont aussi plus performantes.

Mise en œuvre et moyens déployés
J’ai commencé à concrétiser ce projet en 2022 en construisant une notoriété solide sur les réseaux sociaux, avec un objectif clair : sensibiliser le grand public et les dirigeants aux enjeux du bien-être et santé au travail.
J’ai créé des contenus accessibles, percutants et fondés sur des données scientifiques. Cette approche m’a permis de fédérer une communauté de plus de 70 000 abonnés sur TikTok, LinkedIn, Instagram et YouTube, faisant de moi l’une des top 5 influenceuses RH en France.

Depuis 2024, je vis de cette activité d’influence et d’interventions en entreprise et dans les salons professionnels. J’y anime des conférences, ateliers et tables rondes sur la performance sociale, le management bienveillant ou encore la charge mentale. Ce travail de terrain, associé à ma visibilité médiatique, m’a apporté la légitimité et le réseau de partenaires nécessaires pour développer la plateforme The Good Boss, qui sera lancée officiellement en janvier 2026.

Cette première version (V1), développée simplement via SquareSpace, reposera sur deux piliers :

  • La Map The Good Boss, première carte interactive permettant aux candidats de géolocaliser les entreprises qui recrutent où il fait bon travailler, selon leurs valeurs et critères (flexibilité, management, parentalité, inclusion, etc.).
  • La Boîte à Outils, un espace regroupant des conseils concrets et des partenaires QVCT pour les aider les employeurs et particuliers à améliorer leur Qualité et Conditions de Vie au Travail.

Ces deux outils permettront de créer un cercle vertueux : donner de la visibilité aux entreprises engagées, inspirer les autres à suivre l’exemple, et aider les candidats à retrouver du sens dans leur vie professionnelle.

Objectifs

  • Objectif 1 : Accélérer la mise en visibilité des entreprises vertueuses pour inspirer un changement de modèle global.
  • Objectif 2 : Offrir aux candidats un outil simple et positif pour retrouver du sens dans leur travail, en choisissant leur entreprise pour ses engagements.
  • Objectif 3 : Accompagner les dirigeants dans le pilotage de leur performance sociale, en leur donnant accès à des indicateurs concrets et à des solutions éprouvées.
  • Objectif 4 : Créer un label français reconnu, The Good Boss, garant d’un management humain, mesurable et performant.

Impact recherché
Le projet vise à réconcilier bien-être et performance économique.
Aujourd’hui, un salarié sur deux est en détresse psychologique (source : Empreinte Humaine), et le mal-être au travail coûte plusieurs dizaines de milliards d’euros par an aux entreprises françaises (absentéisme, turnover, désengagement).
The Good Boss s’attaque directement à cette perte de valeur, en offrant aux entreprises des outils concrets pour :

  • réduire l’absentéisme,
  • fidéliser les talents,
  • améliorer leur image employeur,
  • et renforcer la cohésion et la motivation interne.

L’impact est à la fois social, économique et territorial :

  • Social, car il favorise la santé mentale et physique des salariés, la reconnaissance et le sens au travail.
  • Économique, car il réduit les coûts cachés et améliore la productivité durablement.
  • Territorial, car la Map encourage l’emploi de proximité et la dynamique économique locale.

Résultats et actions déjà menées

  • Reconnaissance institutionnelle : le projet est soutenu par Bpifrance, INCO, la Région Île-de-France, PIE et JP Morgan dans le cadre de programmes d’accompagnement à l’entrepreneuriat à impact.
  • Communauté engagée : plus de 70 000 abonnés suivent mes contenus sur les réseaux sociaux, où je vulgarise les enjeux de bien-être au travail et valorise les initiatives positives.
  • Entreprises référencées : une première dizaine de TPE et PME sont déjà visibles sur la Map, certaines ayant bénéficié d’une mise en avant gratuite en phase test.
  • Partenariats en cours : discussions avancées avec des acteurs majeurs comme BPCE, Empreinte Humaine, Logitech, APICIL et Yemanja pour le lancement officiel de la plateforme.
  • Soutiens médias : plusieurs médias économiques et RH (dont Les Échos) ont prévu de relayer le lancement officiel prévu en janvier 2026, afin d’amplifier la visibilité du projet.

Autres actions et développement à venir
La prochaine étape est le déploiement territorial de la Map, en commençant par le 18ᵉ arrondissement de Paris, en collaboration avec la mairie et les acteurs économiques locaux. L’objectif est de référencer toutes les entreprises du territoire et d’en faire un laboratoire de bonnes pratiques.


En parallèle, je travaille sur :

  • la V2 de la plateforme, avec des comptes utilisateurs, des audits salariés automatisés et un “TGB Index” de performance sociale,
  • la création du label The Good Boss, fondé sur un protocole scientifique et des critères mesurables,
  • et le développement d’un second projet miroir, The Good Health, pour le bien-être global (produits santé, nutrition, skincare, etc.).

Conclusion
The Good Boss, c’est plus qu’une start-up : c’est une mission.
Mon ambition est de faire de la performance sociale un standard de gestion aussi reconnu que la performance financière.
À terme, je souhaite que chaque investisseur, chaque business plan, chaque banque prenne en compte ces indicateurs humains avant de financer un projet.

Parce que les entreprises les plus performantes seront celles qui auront compris que le capital humain n’est pas un coût, mais leur plus grand actif.

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